Dans le cadre de la RSE, mais aussi parfois sous la pression de l’opinion publique, les mesures de retombées ont repris de la vigueur dans le secteur du sport, de la culture, du tourisme…
Au-delà de l’économique, la mesure de l’impact vise à cerner non seulement les dimensions financières (revenus des ménages, des entreprises, des services fiscaux, manques à gagner…), mais aussi les impacts sociaux (bien-être, satisfaction des populations…) et environnementaux (pollution, perturbation de la faune…), dans leurs aspects positifs, neutres ou négatifs.
Plusieurs éléments sont d’abord à définir :
- Le périmètre territorial du point de vue des acteurs à l’origine de l’impact et des bénéficiaires de l’impact.
- Les limites des horizons temporels des impacts.
- L’impact à court terme (retombées directes et immédiates) ou moyen terme (incluant par exemple le renforcement de l’attractivité d’un territoire).
- L’impact primaire (achats des visiteurs par exemple) et secondaire (diffusion des nouvelles ressources financières au sein de l’économie locale).
Les évènements culturels (Festivals, Expositions…) ou sportifs (JO, Coupes du Monde, Grand Prix de F1…) de grande envergure en font souvent et de plus en plus l’objet, au regard des bénéfices qu’ils apportent, mais aussi des effets négatifs qu’ils occasionnent (insatisfaction des populations locales, pollution, nuisances sonores, hausse des prix, saturation des transports…).
Quels modèles, quels indicateurs, quelles méthodes choisir pour les identifier, les estimer ou les mesurer via des enquêtes terrain, des comptages techniques, notamment géolocalisés ?
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